J’ai testé Kiwill, le spinning chic !

© Kiwill

Je n’aime pas courir, mais le vélo j’aime bien. Enfin, surtout quand c’est plat, quand c’est les vacances et qu’il n’y a pas de vent. Maintenant j’aime aussi le vélo quand il fait noir, que la kizomba résonne dans mes oreilles et que je n’avance pas. Quoi on n’appelle pas ça du vélo ?

Le spinning, le cycling et le vélo, c’est pas la même chose ?

Si vous aimez les séries américaines qui racontent la vie de filles en galère dans une grande ville comme New-York, vous connaissez peut-être déjà le spinning. Ce sport importé des USA se passe en salle, dans une lumière ultra tamisée, ce qui a l’énorme avantage de cacher aux yeux des autres ma détresse et la rougeur de mon visage ! Car le spinning, c’est surtout pédaler non stop sur un rythme très soutenu, sous les encouragements du coach et les boum-boum des sons qu’on retrouve à minuit en boîte de nuit. Aïe, aïe, aïe, qu’est-ce qu’on sue !

Et le cycling alors, c’est pas pareil ? Ben si ! Mais pour être stylée, on dit spinning (spi-ning, pas spaï-ning !). C’est tout.

Et « vélo en salle » alors ? Ça se dit pas ? Ah non ! Là c’est carrément ringard ! Sortez s’il-vous-plaît !

Avec Kiwill, faire du vélo n’a jamais été aussi chic !

Au cœur de Paris, à deux pas de République, se cache une salle de spinning chic où tout a été pensé pour rendre l’expérience pratique et facile : Kiwill. Enfin, facile, pas vraiment. Sauf si on qualifie de facile le fait de mourir trois fois en une heure et de rester rouge toute la soirée. Mais je spoile.

© Kiwill

Kiwill, donc. Kiwill c’est la réservation en ligne de son vélo parmi la trentaine disponible à chaque cours. Le jour et l’heure venus, on se présente à l’accueil et on récupère une paire de chaussures à sa pointure et une petite bouteille d’eau. Un point positif déjà : le sac de sport se réduit à la tenue. On n’est pas chargée comme une mule.

Après un passage en vestiaire, on s’installe dans la salle sombre, sur le vélo qu’on avait choisi, avec ses haltères qui permettront de travailler les bras et une petite serviette qui annonce déjà la couleur : ça va suer ! On accroche ses chaussures futuristes sur ses pédales, pour ne pas les perdre (haha) et c’est parti pour 45 minutes de course sur place (moins haha).

Selon le coach, la musique sera disco, zouk ou house, mais certaines choses resteront : alternance de sprints et de passages en danseuse pendant lesquels la difficulté est augmentée, cris de motivation et contrôles réguliers qu’on se donne à fond, sueur et accélération cardiaque… C’est palpitant, au propre comme au figuré !

A la clé, que des points positifs : une grande satisfaction, aucune douleur aux articulations, l’assurance d’avoir tout donné… et l’envie d’une bonne douche ! Et là, nouveau point positif : Kiwill nous facilite la suite. Tout est mis à disposition, que ce soit dans les belles douches avec grandes serviettes, gel douche, shampoing et après-shampoing ou dans les vestiaires avec démaquillant, déodorant, sèche-cheveux… Oui, tout est là pour qu’on soit prête à retrouver des amis dans un bar de Paris ! On embarque même une pomme à croquer, pour compenser les excès qui nous attendent ! (Quoi vous faites du sport pour quoi vous ?!)

L’article se termine là ? Et les points négatifs ? Il n’y en a pas ? Voyons, le monde n’est pas un conte de fée ! Il y a la pizza et la mozzarella di Buffala, mais il n’y a pas de spinning chic sans prix. A 25€ la séance, le service tout inclus n’est pas à la portée de tous. La motivation rend le coût plus doux, à 16€ la séance pour 30 crédits achetés. A vous de décider.

© Kiwill

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de Kiwill. Séance d’essai gratuite.

P.S. : Pensez à prendre des sous-vêtements propres (au cas où vous n’auriez pas compris qu’on sue).

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