Les lectures PÉNIBLES de novembre

Chez PÉNIBLES, on aime lire. Et pas que les dernières sorties qui font parler d’elles. On aime lire les grands classiques, les petits nouveaux, les grands inconnus et les petites histoires. On aime lire léger, triste, poétique, bouleversant, sombre, insolite, poignant, drôle, sérieux. On aime lire français, anglais, suédois, mexicain, américain, japonais, et caetera, et caetera.

Et en novembre, on a lu ça :

Les disparus du Clairdelune, tome 2 de La Passe-miroir, Christelle Dabos

 

Je ne peux pas raconter l’histoire, ça spoilerait celles et ceux qui n’ont pas encore lu le tome 1. Tout ce que je peux dire, c’est que les illusions, la magie, la neige et les mystérieuses intrigues de cour font de ce livre LE bouquin à dévorer sous le plaid tout l’hiver.

 

 

L’Arcamonde, tome 4 : la pendule endormie, Hervé Picart

Avec la série L’Arcamonde, on part à l’aventure avec Bogaert, un antiquaire de Bruges, pour qui les objets anciens n’ont pas de mystère. Chaque tome met en avant un objet étrange qui cache bien des secrets. Dans cet opus, on part à la découverte d’une pendule sur laquelle il n’y a pas des chiffres mais uniquement des fleurs… Et bizarre, elle ne compte que onze heures. En essayant de percer le mystère de cette pendule, Bogaert et son assistante vont essayer d’aller contre le temps !

Ce tome est un peu en dessous des précédents mais la trame reste originale ! Et surtout l’ambiance construite autour de cet antiquaire est toujours aussi appréciable !

 

Madame Bonheur, Roger Hargeaves

C’est l’histoire de Madame Bonheur qui visite le pays le plus triste du monde… Le Val-de-Larmes. SPOILER ALERT : ça finit bien.

Le ton est doux, l’écriture est chouette, les dessins sont jolis et les bouilles sont tendres… En bref, on retombe délicieusement en enfance avec les « Monsieur, Madame ».

Pour continuer la collec’ il y a aussi Mme Bavarde, Mme Farceuse, Mme Coquette, Mme Chipie, Mme Chance, Mme Géniale et la petite nouvelle, Mme Lumineuse.

Le Dit de Tianyi, François Cheng

François Cheng retrouve en Chine Tianyi, une ancienne connaissance. Ce peintre chinois qui se fait vieux lui raconte sa vie, de son enfance dans la Chine rurale de l’avant-guerre à l’épreuve des répressions de la république communiste, en passant par ses séjours en Europe…

Une vie riche et fascinante, narrée avec art, qui nous entraîne dans un beau voyage à la découverte de contrées et de périodes inconnues.

 

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